La maison des animaux

Il y a plusieurs manières d'aider ces animaux. Ils ne pourront certainement pas être adoptés, mais il va falloir les faire stériliser et tatouer, les nourrir, les soigner. Peut-être n'avez-vous pas d'animal car votre situation ne vous le permet pas mais seriez-vous heureux de parrainer un de ceux-ci. Contactez-moi au 06 13 99 42 30 (laissez-moi un message si c'est le répondeur et je vous rappellerai), nous verrons comment procéder.

 

Il y a aussi quelques adultes qui pourraient être adoptés, ils sont gentils, très câlins et ne se plaisent pas avec d'autres chats. L'un s'appelle Ginger et est tricolore, l'autre Tagadie, une superbe angora grise à museau et bout des pattes blancs, et notre Myroux qui ne s'adapte pas : lorsqu'il le peut il se blottit dans mes bras, mais s'enfuit dès qu'il voit apparaître un autre chat. Tous sont tatoués et stérilisés. Et ils sont habitués à un jardin loin de la route. Il y aurait un contrat d'adoption fait au nom de l'association LMDC et un dédommagement financier pour les frais de dossier. Dans ce cas aussi, téléphonez-moi pour en discuter.

Ci-dessous, dans l'ordre : Tagadie, Myroux et Ginger.

 

 

Si vous pensez pouvoir participer à l'alimentation ou au frais vétérinaires de tous nos autres pensionnaires, contactez-nous aussi pour les modalités. Si vous êtes à proximité (Seine et Marne, limite Essonne), vous pouvez passer déposer des boîtes, croquettes ou briquettes de lait pour chat. Si vous êtes loin, des arrangements peuvent se faire avec nos magasins. Pour les frais de soins, vous pouvez aussi envoyer un chèque d'acompte à nos vétérinaires (que nous vous indiquerons).

Je vous ai parlé des chatons qui avaient été amenés par leurs mères, au printemps. Ils sont toujours là, je les observe et je découvre des comportements vraiment différents d'une mère à l'autre.

 

Cookies, la petite noire, est restée très proches de ses deux petits (Schuss le chartreux, Cachou le noir et blanc). Ils sont toujours tous les trois ensemble, pourtant ils ont maintenant sept mois. Je leur ai fait un abri de fortune sous une table de jardin avec foin, bâche de protection, sans celà ils dormaient sur un tas d'herbes séchées, à ciel ouvert. Maintenant ils sont tous les trois installés dans cette cachette, car ils refusent de s'installer sous le cabanon où j'ai aussi mis de nombreux couffins... mystère ! Lalie, la petite mère tigrée vient tous les matins, elle miaule tristement, se laisse caresser et se pelotonne sous la tonnelle avant de repartir je ne sais où. Elle ne connaît plus ses quatre petits, ne s'en occupe plus du tout, semble ne pas savoir qu'ils sont à elle. En revanche mes quatre gaillards sont des coquins : ils ont trouvé la trappe qui conduit à "la pièce des chats" que je leur ai réservée dans la maison. Cette pièce donne dans le salon et j'ai vu certaines nuits, puis le jour, des petits canaillous venir chahuter autour de la cheminée ou sur les fauteuils ; mais il ne faut pas toucher surtout... on s'enfuit... on fait semblant d'être sauvages ! Dans la pièce des chats j'entends jouer, puis je constate les dégâts, couffins et cartons renversés, et l'appétit va bon train. Je ne suis pas sûre de les apprivoiser davantage. Ils vont certainement rester aussi chez moi. Huit chats d'un coup... c'est un coup pour moi ! Mais comment faire autrement ?

Voici quelques photos. Vous reconnaîtrez Cachou, Schuss, Panache l'angora, et les deux petits frères sur leur botte de paille. 

Voici Myroux, le chat du monsieur âgé... c'était alors la belle époque, le canapé, la chaleur, les câlins, toute la maison pour soi...